Qui a tué Oderjacques? (Publicada el viernes 27 de octubre de 2006)
Préface de M V
Monsieur A.F entraîneur amateur n’avait pas seulement les rares qualités personnelles indispensables pour jouer ce rôle difficile pour un néophyte. Mais il avait un esprit inégalable, une obligeance parfaite, un sortilège exquis et – le langage si franc qu’il possédait en outre au plus haut degré, le sens rapide des choses de la politique, et un dévouement complet, absolu, aux idées de progrès et à son travail de serviteur de la patrie. Aussi, il était très apprécié dans le milieu syndical plus que dans le clan des courses. Il devient rapidement l’un des centres d’action les plus vivants des détracteurs de magouilles. Sous l’autorité de l’ordre moral, il prit même le rôle d’un ardent foyer de fermeté. C’est là qu’aux heures les plus critiques, les esprits troublés accouraient reprendre leur équilibre, que les exaspérés venaient chercher du calme et les tristes du courage.
Le triomphe brillant de ses idées et de ses amis, tout en ajoutant considérablement à l’influence personnelle de Monsieur M.V homme de convictions qui ne lui demanda jamais, de modifier sensiblement ses options. Alors que leurs idées étaient diamétralement opposées.
Un de ses principaux attraits ne tarda pas en effet à lui être enlevé par suite de la dispersion des plus éminentes personnalités du monde des courses ou de leur intégration par les situations officielles qui retenaient les uns dans leur poste de dirigeant local, les autres dans leurs rôle de grand manitou plus ou moins prés des idées du fauteuil gouvernail.
En revanche, le monde des parieurs, attiré par la réputation d’esprit de droiture de Monsieur A.F, par son amour bien connu pour sa passion pour les chevaux, prit peu à peu dans le milieu une place incomparable, sans distinction d’idée.
Et cependant, nous ne serions point surpris que quelques vieux amis ne regrettent parfois l’ancienne familiarité du mercredi soir. Entre onze heures et minuit, le précieux rendez-vous avec le plus illustre des hommes d’Etat sous l’aspect quelque peu inattendu du plus simple, des communs des mortels.
Mais, plus que ses travaux de bureau et d’entraineur amateur, il assurait la direction de l’hôtel restaurant bar tabac journaux de sa femme Il ne pouvait suffire à satisfaire l’activité physique et morale de Monsieur A.F. Il lui fallut chercher un mets à cet amour du travail, qui est chez lui non seulement une passion, mais un besoin. Ce mets, il ne tarda pas à la trouver dans la fondation d’une écurie de course. Certes, il fallait un rare courage pour commencer de bâtir église contre laraire, à côté, sinon en face, d’un concurrent, et l’on conçoit que les amis les plus dévoués de Monsieur AF aient tout fait pour l’en dévier. Mais le principal caractère de cette nature essentiellement aventureux, ainsi que nous avons eu plus d’une fois l’occasion de le constater au cours de cette préface, c’est précisément de ne point s'immobiliser aux gênes, non plus qu’au côté dangereux des choses. Monsieur AF ne défie pas le danger, il le méprise il suffit de lire son parcours dés le plus jeune âge dans son livre « sursaut plus loin... »
Là où les hommes du métier les moins craintifs auraient abandonnés avec effroi, il passa outre sans hésitation ; et, chose vraiment surprenante, il réussit oui, assurément, du premier coup, là où les gens les plus habiles et les plus exercé sauraient peut-être subi un échec navrant.
C’est que séparément de son grand talent d’écrivain et de sa haute influence, Monsieur AF semble avoir été naturellement douée pour la direction d’une pareille entreprise : non seulement Il détient un coup d’œil d’une garantie, d’une vitesse merveilleuses, un intellect vif, une puissance d’assimilation et de pénétration véritablement étonnant. Or il a encore et par-dessus tout, l’art de manier, de gouverner les hommes, d’une main à la fois ferme et très douce. Ce que ses supérieurs obtenaient avec leur bestialité légendaire, Monsieur AF l’obtient avec un mot aimable, avec un sourire. Enfin, tel soldat qui sortait jadis de la caserne furieux, humilié et ne respirant que par vengeance, sort aujourd’hui de la même caserne ravi, plein d’espoir et tout prêt à bénir, alors même qu’il vient de se faire jeter.
Enfin Monsieur AF porte avec lui dans toutes les entreprises qu’il risque un bonheur tout singulier qui en assure fatalement la réussite. Pour nous servir d’une locution intime mais caractéristique, il a la veine, ce dieu protéiforme sans lequel les hasards les plus sérieux de réussite échouent piteusement. C’est ainsi qu’après s’être assuré, par ses hautes relations, des aides de premier choix, parmi lesquels nous citerons des jockeys souvent voyous mais avec lui sérieux.
Il est vrai que ces chances-là ne parviennent qu’à ceux qui les méritent et qui les attirent. Monsieur AF gagne sur succès, non pas seulement parce qu’il est né le jour de la saint Louis sa fortunée étoile, mais surtout parce qu’il cherche, parce qu’il force, parce qu’il vainc la chance – ou le filon – et que personne mieux que lui ne sait tirer parti de ce qu’il a entre ses mains.
Nous avons tenté de brosser un portrait de Monsieur AF sous ses trois aspects d’autodidacte, d’aventurier et d’entraineur de courses. Toutefois, on ne le saurait pas tout entier, si nous n’additionnions qu’il n’est point d’homme plus adroitement complaisant et plus grassement caritatif. Le nombre de gens à qui il a rendu service, nous pourrions dire de ceux qu’il a sauvés, devance toute foi. Si bien que sa réputation, est si bien établie sur ce point, qu’il n’a pas de problème avec sa banque ni de bonne volonté qui puissent pouvoir aux requêtes qu’on lui adresse des côtés les plus divers. N’est-ce pas pour cela que cet homme d’une intelligence supérieure à tant de points de vue, et que sa supériorité même désignait davantage aux attaques, a toujours été respecté dans sa personne et dans sa vie par les adversaires les plus acharnés de ses idées ? Et n’aurait-on quelque raison de répondre à ceux qui s’assourdiraient de cette étonnante prérogative : « C’est que Monsieur A F n’est pas purement l’homme le plus véritable et le plus complet, remarquable de ce coin d’aquitaine, mais qu’il en est aussi le plus
Monter à cheval et driver c'est exprimer les nombreuses figures de son caractère : sensibilité, intellect, qualité, émotivité, contrôle et connaissance de son corps… Le placement personnel est grand. La difficulté tient à cette relation si particulière entre l'animal et l'homme, entre deux êtres aux moyens de locutions si différents et pourtant si proches.
Et toute relation procrée inspiration, bonheur, floraison mais aussi doutes, ignorance, déboires et parfois même fiel.
Vous traversez un de ces moments de doute…vous ne vous trouvez pas capable vous avez l'effet de ne plus progresser, voire de régresser…
Mais le sérieux est-il vraiment là ?
Je me suis maintes fois posé la question lorsque j'ai ressenti ce doute. Les revers, les demi - réussite, les gênes ne sont que faits. L'important est cette recherche personnelle, l’amplification de la sensibilité, la plénitude de cette relation privilégiée avec le cheval, le synchronisme de la relation.
Le jour où je n'aurais plus que des convictions j’arrêterais de m’améliorer. C'est d'ailleurs ce qui arrive à beaucoup d’hommes qui se disaient hommes de cheval alors que c’est l’appât du gain de la course qui compte…!
Si cette relation avec le cheval et cette étude vous enthousiasme, alors continuez, besognez, flairez, améliorez…et peut-être y trouverez-vous un bonheur personnel.
Le rôle d'un homme de cheval est avant tout d'apprendre à sentir à son élève, et de développer sa sensibilité et son tact.
Un homme de cheval n'a pas à enseigner à son élève "sa" formule.
Il doit simplement donner à l’autre les moyens techniques et théoriques permettant d'exercer et de développer l’émotivité, lui communiquer l'amour et le respect du cheval.
Hélas, beaucoup d'hommes de cheval, de bon niveau par ailleurs, n’apprennent que des "façons", des "préceptes"…Ils ont un concept machinal du cheval.
C'est une des raisons pour lesquelles tant de jeunes croupissent ou laissent le monde du cheval.
Pour guider l’apprenti, le maître doit avoir une conscience profonde de ce qu'il apprend, apercevoir ce que sent l‘apprenti et "percevoir l’état d'esprit du cheval que celui-ci va driver ou monter.
Approcher le cheval , et qui plus est l’entrainement d’aisance et d’apesanteur c’est apprendre à sentir.
Un roman assassin bien construit.
André Rotella nous offre un ouvrage de recommandation exceptionnel, fruit d'un remarquable travail d'investigation dans la pensée des bêtes. À travers les nombreux souvenirs affectueux qu'il a réunis et grâce aux témoignages de quelques fans du cheval. Lui-même ayant été spahis de cette magnifique tradition équestre, détenteurs aujourd'hui encore du « pouvoir des chevaux », il nous emmène dans un univers où tout tourne autour du cheval.
«Qui dois-je et où et lequel redouter ? Est-ce de ne pas subsister à ma mort, et qui plus est, éclairer le soleil de la vérité ? Est-ce de ne plus me connaître, changé par la mort en animal, docile ou indompté. Continuer de créer sous ma dalle et alors forcé de devoir écrire dans l’obscurité. Qui sait peut être le fredonner dans le carré des cendres au gré du vent. Même au purgatoire ou en enfer forcé de hurler dans le néant ou seulement rêver au Paradis ? Est-ce tout brutalement de n'avoir plus à dire, de l'autre côté ou la force de revivre dans l’ailleurs ?» À nous d'en tirer quelques leçons de sagesse, d'en partager la ferveur lyrique, de nous laisser entraîner, au rythme du pas des chevaux, au plus profond de l'âme amérindienne.
Le récit des pérégrinations d'un jeune Syrien qui, entre 1982 et 1986, après avoir longé la rive nord de la Méditerranée, ralliant Damas à Paris via la Turquie, la Grèce et l'Italie, puis traversé les Etats-Unis d'ouest en est, a regagné son pays natal par l'Afrique du Nord, la Mecque, le Golfe arabo-persique et enfin la Jordanie ! Ce voyage extraordinaire n'était pas une simple promenade, ni un pèlerinage, mais plutôt une croisade à l'envers : une tentative de rapprocher l'Orient et l'Occident. Au moment où tant de fanatismes s'acharnent creuser entre les deux civilisations un fossé infranchissable, d'installer l'incompréhension, voire la haine entre les deux mondes - l'oriental et l'occidental-.
Dans ce livre, vous pourrez également trouver comme entre la femme et le cheval, une très belle, très longue et très ancienne histoire d'amour.
Or avant de poursuivre il faut savoir comment a été crée le Haras de la Santa.
Ce sont deux parcelles de terre achetées à un vieil homme qui exploitait une gravière de sable et de graviers. L’homme avait eu son heure de gloire et vécu aisément avec sa femme de son entreprise. Cependant, tout à une fin et le vieil homme mourut ruiné et délaissé par son unique fils. Mais là n’est pas l’histoire en soi c’est la manifestation de faits curieux qui va susciter bien des interrogations et des coïncidences.
CHAPITRE I
Il y a beaucoup de temps vivait un homme seul dans une unique pièce qu’il avait sûrement bâtit de ses mains. Il était désolé et triste et ses yeux étaient pleins de solitude et les pleurs par l'amour de sa vie, son fils unique ne venait plus le voir depuis quelques années. Le vieil homme est rentré à l’hôpital il est mort les causes on ne les a jamais sues, mais il gardait quelque chose très important dans son cœur, et dans un coffret des cheveux d'or de sa conjointe décédée elle aussi depuis des années. Et il lui avait toujours dit que si quelque chose lui arrivait qu’il les mettrait avec lui dans son cercueil je pense que cela fut fait par le pompes funèbres qui découvrir dans sa main le coffret qui ne le quittait jamais. Une nuit le vieil homme m’a raconté qu’une dame l’avait appelé, il lui avait ouvert la porte et elle s'est assise au bord du grabat qui lui servait de lit. Elle pleurait et sanglotait en demandant au vieil homme de ne pas fermer la porte.
Elle lui disait qu’elle surveillait la lune et cherchait en elle le regard de son grand amour, mais elle ne recevait aucune réponse, elle a alors demandé au vieil de lui montrer les cheveux d'or qu’il gardait dans le coffret qu’elle lui montra du doigt. Elle prend le coffret le maintient avec force et commence à pleurer. La lune compatie à ses pleurs elle lui répond avec une lumière, tellement divine, tellement blanche et pure qu'elle n'a pas pu soutenir le regard, elle est paralysée de peur et d'émotion. Quand elle a entre ouverts ses yeux, là chose qui était face à elle était une créature inconnue jusqu'alors pour elle, et dans une inondation de joie elle lui sourit. Face à elle était un magnifique cheval alezan et le crin de son encolure de couleur or brillant, sa tête marqué au front par une étoile blanche et dans son regard une flamme de feu pleine de lumière, elle sourit et quand elle fixait les yeux de cette bête tellement belle, elle lui trouvait le regard de son grand amour. Elle a voulu l’approcher le toucher et le caresser avec un amour de ce qu’on imagine jamais. Le vieil homme et la dame ont ainsi passés des nuits, ensemble et le matin elle disparaissait. Car elle ne pouvait voir le cheval seulement la nuit quand la lune sort dans son plus beau faste, lui n'était pas de ce monde. Alors un thaumaturge qui au moyen de ses pouvoirs a découvert le secret de la vieil dame et l'a suivie jusqu’au profond de la nuit et a découvert la manière comment elle s’y prenait pour que le bel alezan arrive à son giron. Le vieil homme est heureux il a quant à lui trouvé une compagne au scélérat pouvoir. Le thaumaturge lui dit adopte la forme et en appelant le cheval tu le trompes et le capture ainsi ta compagne sera là nuit et jour. Une nuit ils attendent comme les autres nuits mais le cheval ne vient pas. Elle pleure une rivière de tristesse le vieil homme s'éloigne de là, avec des larmes dans ses yeux et la tristesse de nouveau avait regagné l’unique pièce qui composait sa maison.
Elle se rend malade et le bel alezan avait perdu la volonté de vivre, et le thaumaturge a alors compris que l'amour qu'ils avaient eus était immense. Il sait que ni avec son pouvoir il ne pourrait changer les choses, donc il a décidé de le restituer à la liberté, et à la dame il lui a accordé son désir et elle lui avait demandé d’être elle-même un cheval et il le lui a accordé. Puis pour que ne s'interrompent jamais cet amour en attendant que ne les rejoigne son mari qui est le vieil homme de la gravière le thaumaturge les porte ; dans un lieu où vivent seulement de superbes créatures et où règne l'amour vrai. Ainsi ensemble et le bel alezan appelé Oderjacques avec la femme du vieil homme ils sont ensemble jusqu'à la fin des temps. Dans le village du haras il y avait une personne très humble, mais jusqu'aux élus elle était enviée parce qu'il possédait ce beau trotteur. Les professionnels des courses lui ont offert des sommes fabuleuses pour le cheval mais l'homme disait : «Pour moi, ce n'est pas un cheval, est un être comme moi. » Un être cher un ami cela ne se vend pas. C'était un petit fonctionnaire mais jamais il n’a pensé un instant vendre son cheval. Un jour Geneviève à découvert que le cheval était en nage dans l'écurie. Affolée elle appelle son mari. Tout le monde par la suite a dit, c’est un homme stupide qui en voulait trop. Nous savions qu'un certain jour on lui volerait son cheval. Il aurait été mieux vendu qu’empoisonné. Ceci est le fait, tout le reste est votre jugement. Si un malheur est une chance, je ne le sais pas, parce que ceci n'est qu’un meurtre gratuit. Qui sait ce qui va demain arriver à d’autres ? Les gens ont peut-être ricané du tour qui avait été joué à Fernand. Ils avaient toujours su qu'il était un peu mordu presque fou de son cheval quand il en parlait.
Ce matin là dans son box Oderjaques, n’est plus le joli cheval alezan, que Geneviève connaît. Je ne suis qu’une larme qui avait le moral à zéro.
L’histoire d’une larme incitant d’autres larmes doucement peu à peu à inonder. Quand la larme est pleine c’est le peu en trop qui entraine les autres larmes. Je ne suis qu’une eau une larme folle dégoûtée, noyée dans un ras le bol. J’ai pleuré inondé le box certes ; avec un peu de fièvre incitant les autres coûte que coûte à déborder. En vérité une larme c’est de l’eau en prison et je n’ai pas envie d’être une larme sans nom. J’ai quitté le sillon qu’on m’a creusé, j’avais trop envie d’être entendue.
L’amour du cheval n'est pas un plaisir solitaire. C'est un bonheur qu'il partage avec ses chevaux, bien sûr. Mais aussi avec de la piétaille, célèbre ou inconnus : Fernand est "un prof de cheval » comme certains choisissent d’être professeur de x ou z. Mais sa discipline à lui, choisie par passion, sinon par peur des parents, va le faire vivre des années cinquante à maintenant, dans une société étrange, périmée, mal connue, et dans les principes, douteux mais convenable avec le pouvoir et l’argent, qui la affermissent et la glorifient.
L'air était irrespirable dans le box d’Oderjacques qui lui servait depuis des jours, des mois, déjà trois années, de salle à manger et de dortoir. Il se promenait, comme il aimait tant le faire parmi les traces de ce haras qu’il appréciait tant. Et puis soudain, il avait surgi. Il était incapable de se rappeler d'où venait cet homme dans l’obscurité. Il était sorti de la nuit comme quelqu’un qui veut faire du mal. Peut être qu'il l'épiait depuis des heures, tapis dans une crevasse, un trou ouvert sur cette terre prés de la gravière, pourtant si riche d'histoires et de traditions. Il avait alors été emmené à faire une basse œuvre sans ménagement, les yeux exorbités, une masque recouvrant son visage durant un temps qui
lui parut interminable et puis, soudainement il avait jeté dans l’auge le poison mortel posé sur de la paille fraîche. Juste une porte au centre laissait passer les rayons du soleil.
L'ensemble était sec, chaud et froid à la fois. Un abreuvoir était disposé dans un angle du mur. Mais il n'avait pas eu de réponses Oderjacques comprenait-il seulement ce qui lui arrivait. Il avait essayé le normand sa langue d’origine par son père. Il ne savait pas ce que l'on espérait de lui. A l'abattement qui l'avait envahi au début, avait succédé une
lassitude, puis une forme de résignation. Il ne pensait plus à son avenir. Seul le présent lui importait. Puis au petit matin, la porte s’ouvrit ? Sa Maîtresse Geneviève le découvre tout en écume comme elle ne, l'avait jamais vu, elle s'approcha de lui. Il se pencha vers sa tête, et lui susurra à l'oreille, dans un hennissement qui en disait long. En l’espace d'une journée, une vie allait être effacée, sans bruit, sans réaction. Il allait glisser dans l'au-delà, juste avec une question aux lèvres... Une seconde... Pourquoi ?
Ce triste matin là, le tressautement qui m'a parcouru le corps et l’esprit a illustré la force de mon ardeur. Certes, je ne peux plus caresser ton encolure mais il faut que tu saches que tu emploies tout mon cœur. Néanmoins de mon souvenir tu ne pourras jamais fuir. Je te garde en moi, dans un coffre toi mon cheval adoré. Le cadre est sous mes yeux, le sentiment reste profond ton lustre unique reste mon plus beau joyau.

Poésies Forumculture
C'est bien mais il y a mieux que le Champagne.
Le Pétrus par exemple.
Autodidacte, André Rotella veut exprimer des valeurs à travers un mode d'expression harmonieux.