Extraits de livres d'André Fernandez,
alias André Rotella


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Le microcosme des porcs

roman balzacien

J'écris ce que mes oreilles entendent et ce que mes yeux voient

Le microcosme des porcs c’est avant toute une histoire sordide. C’est en vérité une histoire Balzacienne mais vraie. Tel est l’homme et sa sottise ! Sans plus, malgré ses vêtements et sa coupe de cheveux à la Jeanne.
Le père, lui il connaît cette femme ; il sait ce qu’elle est et ce qu’elle vaut. Loind4être en chair et en os, son amour présent traverserait le pays et ne ferait plus qu’un avec elle. Jo poursuit son père et sa mère, et ils les assignent devant le tribunal. Pour obtenir l’accord de son jeune frère, lui aussi à son insu contre son, père, sa mère, son frère.
La légende dit que dans un procès l’un perd sa chemise et l’autre lui repart nu. Dary enlève sa chemise de nuit et se met nue.
Qu'est-ce que nous procure le destin ? Un certain jour nous serons tous ensemble dans le plus joli lieu où petits anges et angelotes se réjouiront de notre arrivée. Ce qui est le dernier et le plus rêvé des arrêts, c’est le cher éden. Grandes portes et panneaux indicateurs avec des lettres qui parlent divines en sonnant à la volée les cloches. Les chansons à l'enfant joli là où un autre lieu nous attend. Le voyage où tous sont sortis de terre pour un vol direct au soit disant nirvana sans échelle et sans retard nous y parviendrons tous. Arriver seulement par des mémoires là où L’inconnu ce créateur de tous lui nous ne demandons rien à ce Monsieur. Qu’il utilise ses pouvoirs magiques et élève ses discours en changeant toute la méchanceté du monde pour le bien de l'humanité !
No : ISBN : 2-916090-21-5

"Elle"

Que dire de plus et de mieux que la propre fille d’André Rotella ? Que j’ai aimé ce livre ? Ce serait bien inutile ! On ne peut pas lire un livre d’André sans tomber sous le charme de toute sa vigueur du raconté vrai !
Dans ce livre, le passé, le présent et le futur se confondent, s’unissent et s’amalgament comme dans un maelström sans fin. Cela n’est pas une faute de l’auteur, mais une figure de style qui lui est propre. Cela donne à ce livre une résonance toute particulière qui fait son charme. Il nous plonge dans un univers tourbillonnant qu’il nous semble reconnaître tel un rêve intime ; comme si la vie n’était qu’un éternel recommencement et les hommes enchâssés dans un univers impalpable. Peut-être quelque part, sans nous en rendre compte, chacun à sa façon, vivons-nous tous les mêmes défis ?…
Une critique par la fille de l’auteur
Elle” est un essai qui vous tient en laisse pendant tout le trajet. C’est l’histoire d’une jeune fille enfant, qui, dans sa singulière existence a dévasté son corps ; celle d’une fille que rien ne disposait à terminer sa vie dans une pitoyable existence. De fille intelligente et bien née, elle termine son adolescence comme une dépravée au milieu de voyous et de drogués. Cette histoire hors du commun est admirablement dépeinte par Rotella. Un déroulement inattendu aura des conséquences imprévisibles et dramatiques. Le suspense demeure jusqu’à la fin ! Et ce n’est pas là, un des moindres mérites du livre !
J’aime ce livre qui allie à la finesse et à l’exactitude de la peinture spirituelle, philosophique, une plume alarme et pimenté de marques d’affection. Les interlocuteurs ont une compacité telle que nous ne pouvons pas les oublier, même en refermant le livre, ils sont là et vous interpellent.
Rotella choisit une façon fraîche de présenter la réalité : la légende fait par la confession de "Elle”, puisque c’est elle qui mène le livre, elle imagine ses raisons et cette représentation des hommes dans ce tableau inhumain. “Elle” est un livre réussi, capable de concurrencer avec les meilleurs romans actuels.
"Elle” est pour moi le décor d’une vraie tournure d’auteur, très gracieux, émotif, agréable et limpide, un plaisir pour l’esprit ; il vous pousse à le boire. L’histoire est bien menée, et l’on ressent très bien cette impression de compassion et de fascination, puis d’abattement, que l’auteur a voulu donner.
No. : ISBN : 2-916090-19-3
 


"Qui a voulu tuer Ralph ?
 
Préface de Joseph OUAKNINE
Je connaissais André à travers l’histoire de sa vie bouleversante, et je l’ai découvert sous un nouveau jour au travers de cette fiction éblouissante.
C’est à croire que la fiction a rejoint la réalité ! Pourtant, on a du mal à ne pas retrouver tout au long du récit, certains passages de sa propre vie, ou certaines pensées profondes que je reconnais bien et qui ont ébloui sa vie. C’est peut-être ce qui fait le charme de ce roman troublant ?…

Ralph a débarqué sur une île tout proche de Bali. Une demi-heure suffira pour rejoindre Line.
L’indigène qui conduit Ralp connaît parfaitement l’île de Bali et il déposera Ralph sur une petite plage près de la maison ou attend Line. Quelle sera la surprise de Ralph quand il s’apercevra qu’il est attendu sur cette plage comment l’homme qui est là, a t - il averti de sa venue ? Ralph est un peu inquiet par cette présence inopinée personne ne l’avait prévenu. Il doutait de cet inconnu, sa première pensée sera pour l’indicateur qui aurait pu le devancer dans cette expédition.
L’inconnu lui demande de le suivre tandis que le batelier demandait à Ralph s’il devait l’attendre. Ralph lui répond, soit ici demain à la même heure. Puis Ralph et l’inconnu se mirent en route pour retrouver Line. Il y avait très peu de route à faire. Les deux hommes prennent un petit sentier dans cette jungle luxuriante en chemin Ralph coupe la branche d’un arbre, d’où s’exhalait un parfum enivrant. L’inconnu lui dit : alors sache que celui qui cueille les fleurs ne doit plus s’attendre de manger son fruit.
Cette réflexion interpelle Ralph à quoi pouvait penser cet homme à cet instant même. Il demande à l’homme de lui répéter la phrase celui ci lui dit : c’est une vérité évite celui qui cueille la fleur ne doit pas attendre pour manger son fruit.
No. ISBN : 2-916090-18-5



Que vaut la peau d'un salaud ?
Roman philosophique
Le féodalisme moderne est cent fois plus humiliant qu’il ne l’était, il y a mille ans. Toutes les formes de ce nouveau féodalisme conduisent l’homme à se déshumaniser, pour finalement se vendre. C’est ici la seule différence avec la méthode employée par les négriers. Hier, ils allaient quérir dans les peuplades abandonnées par l’homme civilisé, les bras qui manquaient à leurs sombres desseins pour ajouter une plus value à leurs ambitions. Aujourd’hui, c’est avec des risques énormes et des privations inhumaines, que des quantités encore plus importantes qu’aux heures noires de l’esclavage, qu’ils se rendent volontairement sous le joug. 
No. ISBN : 2-916090-17-7


Sursaut plus loin

 
La souffrance appelle la souffrance, comme l’argent appelle l’argent, et c’est inadmissible ! Il n’y a que la mort pour réordonner la valeur des choses… Certes, André Rotella n’est pas le premier à le dire, mais à mon sens, il est nul doute le plus touchant, le plus percutant. Que de sensibilité dans ses propos ! Que de finesse et de tendresse dans ses récits ! Comme si la vie et le malheur, la mort et le bonheur, avaient plongé pêle-mêle dans une même poésie !
Sursaut plus loin est un hymne à l’existence. D’origines diverses et variées, de la France profonde ou d’ailleurs, en temps de paix ou de guerre, André décrit des personnages hauts en couleur dont le cœur et l’âme n’ont qu’un seul défaut : la naïveté, l’innocence, la pureté, la simplicité, la passion, la candeur, l’ingénuité, l’ardeur, la ferveur, l’incrédulité, l’enthousiasme, la franchise, la grâce, la verve, la chaleur… et j’en passe !
Si, si ! Tout cela ne couvre qu’un seul défaut : La tolérance ! Comment, ce n’est pas un défaut ? Alors souffrez comme vous voulez…
De toute façon, quelle importance ! L’homme est né dans la douleur ; c’est pourquoi ceux qui ont souffert le plus en parlent le mieux.
No.  ISBN : 2-916090-14-2